Jamais sans elles – Patrice Duhamel – Jacques Santamaria

Jamais sans ellesDes femmes d’influence pour des hommes de pouvoirPatrice Duhamel – Jacques Santamaria –

Plon ; paru le 8 Octobre 2015 ;  271 p.;  13 99.

Résumé de la présentation de l’éditeur : Qu’y a-t-il de commun entre Yvonne de Gaulle, Adelaïde Jaurès, Jeanne Blum, Marie-Louise Chirac, Charlotte Badinter et la princesse Mathilde Bonaparte ? Elles confirment toutes l’adage populaire qui nous dit que derrière chaque grand homme se cache une femme.

Jamais sans elles - Patrice Duhamel - Jacques Santamaria

Foutez-nous la paix ! – Isabelle Saporta

Foutez-nous la paix ! – Isabelle Saporta –

La France qui résiste ;

Albin Michel ; paru le 17 Février 2016 ;  336 p.;  19   80.

Ce cri du coeur, tout le monde le ressent, en France, dans n’importe quelle branche d’activité ou presque, et bien au-delà du secteur agro-alimentaire . Que l’Etat reste chez soi, c’est-à-dire hors de nos vies ! Cette maladie de la règlementation outrancière, tatillonne, perverse, n’est plus ni moins qu’un travers mental qu’il ne faut pas hésiter à qualifier de psychiatrique. S’il est un héritage du Communisme d’Etat installé à la Libération dans toutes les administrations clés, il prend tristement ses racines également dans un jacobinisme infect, et lui-même, pour part chez les ronds-de-cuirs devenus trop influents durant la fin de la monarchie Bourbon (d’Ancien-Régime). A croire qu’au fond, il serait un travers propre à la nation française, laquelle gagnerait à s’en débarrasser.  Royauté-News

Commentaire de l’éditeur :

Savez-vous quelle pression écologique un âne exerce sur son pâturage ? Votre carrelage est-il réglementaire ? Connaissez-vous le supplice de la pédichiffonnette ? La hauteur de votre « végétation concurrentielle » – l’herbe ! – est-elle conforme ? Vous êtes perdu ? Eux aussi !

Ils s’appellent Gérard, Nelly, Jean-Baptiste, Anaëlle… Isabelle Saporta, journaliste et auteur notamment du Livre noir de l’agriculture et de VinoBusiness, les a rencontrés. De Tracy-sur-Loire à Créances, de Noceta à Eygalières, ils sont éleveurs d’agneaux de pré-salé ou de poules de Marans, fabricants de bruccio, de beaufort ou de roquefort, vignerons…

Vous mangez leurs viandes, leurs fromages. Vous dégustez leurs vins. Leurs produits sont servis sur les plus grandes tables du monde. Et pourtant… l’administration les harcèle en permanence, transformant leur quotidien en enfer. Quant à l’agrobusiness, il attend tranquillement son heure. Son arme pour mettre à mort ces défenseurs du terroir ? Les asphyxier sous d’innombrables normes formatées par et pour les multinationales.

Ceux qui résistent ne demandent qu’une seule chose : qu’on cesse d’assassiner en toute impunité la France de la bonne chair !

Foutez-nous la paix ! - Isabelle Saporta

1 TR
Lundi 22 Février à 17:34

Bravo!

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2 Royauté-News Profil de Royauté-News
Lundi 22 Février à 18:12
happy happy happy

Décomposition française – Malika Sorel-Sutter

Décomposition française – Malika Sorel-Sutter –

Fayard ; paru le 12 Novembre 2015 ;  312 p.;  18  ; numérique 12, 99 .

Commentaire de l’éditeur :La décomposition de la France est engagée. Cela ne fait plus de doute.

C’est en observant le système administratif et le monde politique, de l’intérieur, que Malika Sorel a pris la mesure de la faillite de nos élites. L’auteur a dû faire le constat de la servilité, de l’incurie, de l’impéritie, du cynisme, mais aussi de la peur, et de son corollaire, le mépris de la liberté, de la liberté d’esprit.
La pente est prise depuis trop longtemps, par les mêmes toujours au pouvoir, du renoncement à analyser les problèmes en profondeur, à reconnaître leurs erreurs et à reprendre les questions douloureuses, dont les conclusions se révèlent bien souvent déplaisantes…
Nos élites de commandement savent pourtant exactement ce qu’il en est des difficultés inhérentes à l’immigration et à l’intégration, qui se posent d’une manière plus aiguë que jamais. Et c’est là la source majeure de la dépression collective dans laquelle les Français ne cessent de s’enfoncer.
Dans ce livre très personnel, elle raconte les choix opérés, auxquels les Français n’auront pas été associés, qui ont conduit le pays à sa situation actuelle.

Décomposition française - Malika Sorel-Sutter

François Mitterrand – Œuvres

François Mitterrand – Œuvres –

Les Belles Lettres ; chaque tome 25 50.

L’œuvre puissante d’un écrivain en devenir. Royauté-News

T I, 672 p.  : Les Prisonniers de  guerre devant la politique (1945); Aux frontières de l’Union Française (1953) ; Présence française et abandon (1957) ; La Chine au défi (5 articles publiés dans l’Express entre févr. et avr. 1961). Textes introduits et annotés par Pierre Gaudibert, Jenny Raflik, Pierre Journoud, Pierre-Emmanuel Guigo et Judith Bonnin. Édition coordonnée par Georges Saunier. Introduction générale de Jean-Noël Jeanneney.

T. II, 736 p. : Le coup d’état permanent (1964) ; Ma part de vérité (1969) ; Un Socialisme du possible (1971). Textes introduits et annotés par Jean Vigreux, Georges Saunier et Pierre-Emmanuel Guigo.

Paraîtra en Avril 2016 : le Tome III : La Rose au poing ( 1973) ; Ici et maintenant (1980). Édition critique annotée par Pierre-Emmanuel Guigo (La Rose au poing) et Georges Saunier (Ici et maintenant).

François Mitterrand - Œuvres

 François Mitterrand - Œuvres

François Mitterrand - Œuvres

Les années Mitterrand – Mathias Bernard

Les années Mitterrand – Mathias Bernard –

Du changement socialiste au tournant libéral ;

Belin ; paru le 22 Septembre 2016 ;  345 p.  23 €.

« La France tourne pour la première fois le dos au modèle social hérité de la Seconde Guerre  mondiale. »

Les années Mitterrand - Mathias Bernard

1 TR
Mercredi 20 Janvier à 08:28

C’est sûr, les années Mitterrand ont été très dures pour les salariés, que ce soit pour la classe ouvrière appauvrie et précarisée (et à qui on aura fait perdre leur conscience de classe et leur fierté héritées du catholicisme et du légitimisme en particulier dans les terribles années de la Monarchie de Juillet; et récupérée par les communistes), ou pour les employés, les cadres hors cadres « supérieurs »… qui ont souvent vu leur pouvoir d’achat réel divisé par deux, sans compter pour eux aussi la précarisation.