Royauté-News reconnaît la Principauté de Laàs

Article paru le

Royauté-News fait savoir que nous reconnaissons la Principauté de Laàs.

Au delà de l’utilité touristique que constitue la mise en avant par son maire d’un petit village, nous souhaitons reconnaître toute la valeur que cette initiative comporte : elle sera un des moyens supplémentaires pour les Français, de renouer avec la paix vis-à-vis des siècles passés.

Nous allons reparler de la Principauté de Laàs.

La principauté de Laàs

Publié par Royauté-News le

Laàs

Ici, le maire de Laàs, Jacques Pédehontaà, centrant Laàs et son territoire par rapport au reste du monde.

Ce village pyrénéen de Laàs a été baptisé Principauté de Laàs par son maire (2014). Royauté-News, a reconnu cette principauté. Nous allons en reparler très vite.

Le business des vanités – Julien Oeuillet

le

Le business des vanités ; Enquête sur les arnaques à la noblesse – Julien Oeuillet –

Editions du Moment ; paru le 16 Avril 2015 ;  210 p.;  16 € 95.

           Julien Oeillet est journaliste. Il a publié Ils sont fous ces belges, avec Philippe Dutilleul. Nous effectuerons une étude complète de cet ouvrage prochainement.

Le business des vanités - Julien Oeillet

Patrick Esclafer de La Rode pour l’histoire – biographie

Par Royauté-News dans Rubrique centrale le

Par la Rédaction de Royauté-News   ©Copyright Royauté-News

 

Patrick Esclafer de La Rode (et lien) nous quittait le 22 Février dernier. L’un des chefs de file historiques du Royalisme contemporain et figure emblématique du Légitimisme, il était l’une personnalités les plus pures du monarchisme français.

Les obsèques de Patrick Esclafer de La Rode Duvignaud ont été suivies le 26 Février 2015 par une nombreuse assistance familiale en la Cathédrale Saint-Front de Périgueux (Blignières, La Celle, Fourtou, La Soudière). Etaient représentés, l’Institut de la Maison de Bourbon par Jean-Noël de Bercenay,  des institutions culturelles auquelles appartenait le défunt : l’Académie du Périgord, Notables de nos provinces…) ainsi que des associations caritatives : Patrick de La Rode parrainait plusieurs associations africaines). Un message de la Maison du Roi Juan Carlos avait été adressé pour ces funérailles.  Patrick de La Rode repose pour toujours dans le caveau familial des Bardi de Fourtou à Ribérac.

Il appartenait à une branche de la famille Esclafer de La Rode, vieille famille distinguée du Périgord dont certaines avaient eu des alliances avec d’illustres maisons. Sa mère l’apparentait elle aussi à plusieurs grandes familles de l’Angoumois et du Périgord et à des personnalités du 19°siècle, dont son aïeul Dereix de Laplane (†1840), Député-Maire de Mareuil et Conseiller Général, un autre aïeul, Jean-Baptiste Pourteyron, magistrat qui fut le premier Maire de Ribérac. La plus éminente était son arrière grand-père, le ministre Oscar Bardi de Fourtou, Maire de Ribérac, Député, Sénateur, plusieurs fois ministre, notamment Ministre de l’Intérieur, sous la III° République. C’est  son grand-père Jean Esclafer de La Rode qui donna Les Eyzies à la France.

Après des études classiques à Saint-Grégoire de Tours puis à Saint-Paul d’Angoulême (lycée de F. Mitterrand) et un Bac de Lettres, il entra à la Faculté de Droit de Bordeaux.

Après la mort de son père, il devint Pdg de la Société Engrand Sazerac de Forges, affaire familiale depuis 1880 dans le négoce international de Cognac), qu’il revend après quelques années à un groupe étranger. Se considérant agriculteur, il s’occupait de loin des propriétés familiales (Esclafer de La Rode, de Wilde) en Charente et en Périgord.

Historien, généalogiste, il fut l’auteur de plusieurs ouvrages estimés consacrés à l’histoire de grandes familles de sa province et il mit en valeur les propriétés qu’il habita, entre autres, le château de La Roche-Pontissac puis le château de Montclar. Il fut membre de la Société Historique et Archéologique du Périgord, et de l’Académie des Lettres et des Arts du Périgord. Il appartenait également au Comité de lecture de la Revue des Archives Départementales de la Dordogne et fut Président (puis Président d’honneur) de la Société d’Histoire et de Généalogie du Périgord. Il fut longtemps proche du CNI (le Centre National des Indépendants).

Il se passionna totalement pour le Légitimisme auquel il consacra son temps et ses moyens, et pour l’Histoire. Il fut de longues années Secrétaire du Conseil de Son Altesse Royale l’Infant Don Jaime, Duc d’Anjou et de Ségovie, et Chef de la Maison civile de Son Altesse Royale Madame la Duchesse de Ségovie.

En 1967, il organise la première apparition officielle du Duc de Ségovie en France, à Angoulême. Pour la première fois le blason royal est exposé publiquement au cours d’une cérémonie officielle, en présence des autorités – Maire, Evêque – au cours de laquelle est posée une plaque au Bon Comte Jean d’Angoulême.

Il créait en 1973 et à son initiative, avec Armel Girard-Lamaury et Hervé Pinoteau, l’Institut de la Maison de Bourbon.

Proche du couple princier durant de nombreuses années jusqu’à leur mort, en 1979 il avait conduit la Duchesse de Ségovie à Ecône auprès de Monseigneur, afin d’être baptisée par lui dans la foi de toujours.

 

Grand-Croix de l’Ordre Constantinien de Saint-Georges, il avait accepté cette seule dignité, refusant tout autre décoration, même les Palmes Académiques. Hostile à la prolifération d’ordres ou de décorations non officielles dans l’entourage des princes quels qu’ils soient lorsqu’ils ne sont pas sur le trône, il n’avait jamais cessé d’afficher cette opinion.

 

Quelques images pour l’Histoire –   © Yvan de Wilde

Patrick Esclafer de La Rode le 8 Mars 1972 au Palais du Prado, pour le mariage de Don Alfonso de Bourbon y Dampierre, Duc de Cadix, avec Maria Carmen Martínez-Bordiú y Franco. Photo Maurice Zalewski.

Ci-dessous : Christian Papet-Vauban, Patrick Esclafer de la Rode, Hervé Pinoteau, Arnaud Chaffanjon (directeur de la rédaction de Point de Vue).

 Ci-dessous :

Le Préfet de la Charente ; M. Thibault, Maire d’Angoulême ; à l’arrière-plan, entre les deux, M. Hervé Pinoteau ; à sa gauche, M. Pierre Esclafer de La Rode, père de Patrick ; devant : Patrick Esclafer de La Rode et le Prince.

Le blason de gauche est celui de la Ville d’Angoulême.

 Ci-dessous :

 Patrick Esclafer de La Rode en 1992.

Patrick Esclafer de la Rode

Cet article provient du site courant (2015) ©Royauté-News  ©RoyautéNews

 

TR
Dimanche 19 Avril 2015 à 00:25

« Un message de la Maison du Roi Juan Carlos avait été adressé pour ces funérailles. »

J’en suis vraiment très heureuse; le roi Juan-Carlos se prépare sans doute pour « l’étape ultérieure » et remise la haine qu’il nourrissait à l’encontre de ses aînés…

Par ailleurs, je ne savais pas que c’était lui qui avait conduit la veuve du duc d’Anjou et de Ségovie à Écone.

Royauté-News
Lundi 20 Avril 2015 à 17:07

Bonjour TR !

Voici les images du baptême publiées en 2013. Sous la 2nde photo, La Duchesse de Ségovie et derrière elle, Patrick de La Rode smile smile smile

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Baudrier
Mardi 23 Février à 01:31

cela m’étonnerait qu’une interrogation « Esclafer » donne quelque chose sur le Maitron. Je vérifierai. En tout cas une interrogation « orpheline du Temple » donne la notice de Deschapelles. Peut-être sera-t-elle enlevée lorsque les recherches auront progressé. Actuellement la séquence « Marie-Thérèse de France » renvoie à « orpheline du Temple ». Ce doit être une figure de style qui porte un nom.

Araucanie : l’élection, un an déjà et…

Le 9 Janvier 2014, ceux qui avaient été investis d’une fonction au sein du Royaume déclaraient pour successeur du Prince Philippe d’Araucanie, M. Jean-Michel Parasiliti di Para. Jusqu’alors ce dernier avait été le président du Conseil du Royaume.

Le 22 Juin, a été proclamé un nouveau Prince, Stanislas Parvulesco, investi par des membres du Royaume, principalement le Vicomte Quatreboeufs de Malimensu, qui avait détenu des fonctions durant plusieurs années au sein du Royaume, et qui était un proche du défunt.

Entre temps, par l’intermédiaire d’un de nos journalistes, notre Site avait accordé à M. Parasiliti, qui avait adopté le nom d’Antoine IV, sa première grande interview, particulièrement riche et qui  semblait augurer de sa capacité à prendre avec succès les rênes du Royaume. Parallèlement, il s’était engagé à rénover les institutions, à effacer les blocages qui empêchaient le Royaume d’obtenir une audience véritable, afin d’aller au-delà d’un petit groupe d’amateurs et de curieux.

Cette voie ayant été abandonnée, nous voici aujourd’hui, un an après l’élection qui a porté M. Parasiliti di Para à la tête du Royaume, et nous pouvons nous poser la question : quel est son bilan ? Il n’est pas opportun pour nous d’explorer dans le détail cette activité, mais nous ne manquerons pas d’y venir. Cependant que, de son côté, le groupe qui a repris depuis Juin 2014 avec un succès apparent et remarqué la tête du Royaume d’Araucanie et de Patagonie, poursuit sa route et qu’une autre initiative, centrée sur le maintien rigoureux des formes et de l’héritage, voit maintenant le jour.

Cette initiative est conduite par M. de La Garde, qui vient de faire publier plusieurs communiqués à l’occasion de cet anniversaire. Soucieux de réunir les tendances qui se sont exprimées et celles qui pourquoi pas, pourraient se manifester, tout en restant dans une filiation exigeante par rapport aux  formes traditionnelles du Royaume, il a choisi de proposer une nouvelle formule et considère qu’on ne peut reconnaître à la tête de la Maison Royale celui qui n’a pas suivi ses engagements.

En effet, une dynamique nouvelle semble pouvoir être impulsée aujourd’hui. Il va sans dire que l’équipe qui s’était soudée autour d’Antoine IV provenait de l’ancienne équipe des dignitaires en place jusqu’à la mort du Prince d’Araucanie et qui, on l’a ignoré, ne faisait pas l’unanimité, a tenté d’ostraciser toute tentative d’ouverture et de renouvellement, renvoyant d’un même bloc à l’ignorance, aussi bien les propositions d’entente émises par le jeune Prince Stanislas, et celles partiellement tentées par l’auteur de la troisième voie, qui avait exprimé à la fin de l’été le désir que soit ouvert un dialogue et une concertation. Ce dernier, après avoir travaillé intensément avec Antoine IV, a fait savoir qu’il s’était séparé de cette collaboration vouée à l’échec, en raison de l’attitude calculée de ce dernier pour éviter de s’engager dans la voie des réformes promises. Voilà pour les explications officielles.

En outre, les choses vont plus loin, car M. de La Garde considère comme nulle l’élection du 9 Janvier 2014, rejoignant totalement une part des griefs mis en avant devant la presse par le vicomte Quatreboeufs de Malimensu. La suite promet donc d’être riche, d’autant qu’une mission de concertation a été mise sur pied et elle a pour objectif de s’adresser à l’équipe Parasiliti, dans l’espoir qu’une entente soit trouvée. Nous ne manquerons pas de vous informer des évolutions dans les affaires du Royaume d’Araucanie.

Saavedra
Dimanche 11 Janvier 2015 à 12:25

Tempêtes dans des verres d’eau vides…

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Royauté-News
Mardi 9 Juin 2015 à 14:29
L’eau en question se porte bien… Sauf si vous avez des informations à partager.