Dictionnaire amoureux de Napoléon – Jean Tulard –
Plon ; 16 Février 2012 ; 24 € 50.
Dictionnaire historique de Sainte-Hélène – Jacques Macé –
Texto ; paru le 24 Mars 2016 ; 544 p.; 12 €.
On croyait tout connaître de la captivité de Napoléon à Sainte-Hélène. Le dictionnaire de Jacques Macé démentait cette illusion. Cet ouvrage vient de reparaître en Texto. Royauté-News
Histoire du silence ; De la Renaissance à nos jours – Alain Corbin –
De la Renaissance à nos jours ;
Albin Michel ; paru en Avril 2016 ; 216 p.; 16 € 50.
La grande question à poser serait que les individus politiques entrent enfin dans l’histoire du silence en commençant par se taire, le bien-être commun en serait définitivement et merveilleusement réévalué. (commentaire ajouté)
Alain Corbin dresse un portrait d’une civilisation aujourd’hui rompue. Royauté-News
Adieu mademoiselle ; La défaite des femmes – Eugénie Bastié –
Editions du Cerf ; paraîtra le 8 Avril 2016 ; 224 p.; 19 €.
Annoncé comme un livre qui fera hurler les féministes, il nous réjouit d’avance. Et chez nous, nous n’aimons pas la prétention des autorités et autres gouvernements, et tous pouvoirs dits politiques à modifier les modes de vie, surtout quand ils utilisent dans ce but coercition et violence morale ou non morale.
Eugénie Bastié, 24 ans, que nous avons croisée sur les réseaux est journaliste au Figaro. Royauté-News
Avis de l’éditeur :
Abolir la prostitution, mais autoriser la GPA. Supprimer la différence des genres, mais exiger l’égalité des fonctions. Réclamer l’abolition de la maternité, mais accepter l’imposition du voile. Se proclamer progressiste, mais enchaîner la condition féminine au Marché… Soixante-dix ans après Simone de Beauvoir, Eugénie Bastié dévoile ici, d’une plume enlevée et implacable, la misère du néoféminisme contemporain. L’égalité des droits est actée, le contrôle de la fécondité acquis, le système de la parité rendu obligatoire. Mais les nouvelles ayatollettes entendent poursuivre sans fin le combat, et lutter sans relâche pour un monde déjà advenu. Quitte, pour exister, à promouvoir les pires cauchemars d’Orwell, jusqu’à en oublier les véritables menaces qui pèsent sur le corps féminin. Des laboratoires de la Silicon Valley aux plateaux de l’Euro-vision, du tapage des Femen au déni de Cologne, des colloques queer et trans aux réseaux sociaux de la délation, de l’inva-sion des ministères à la désertion des banlieues, cette enquête intellectuelle sans précédent montre comment, sous prétexte de militantisme, l’idéologie postmoderne travaille à la défaite des femmes. Et, plus largement, à la disparition d’une humanité partagée. Un livre décisif.
Lire à Limoges, le Salon annuel du livre qui s’est tenu du 1er au 3 Avril 2016 et qui fête ses trente ans d’existence. Trois cents auteurs de littérature générale ou régionale, de Jeunesse ou de Bandes dessinées, ont partagé leurs livres au public.
Parmi eux, Jean-François Gareyte, au stand Librairie occitane présentait son livre consacré à Antoine de Tounens, publié le 16 Mars chez l’imprimeur-éditeur La Lauze à Périgueux.
A cette occasion, le Chef de la Maison Royale d’Araucanie et de Patagonie a tenu à exprimer, devant la récupération constituée par ce livre, un démenti catégorique.
M. de La Garde, Successeur d’Antoine de Tounens à la tête de ce Royaume américain, dénonce dans un texte particulièrement fort, « une trahison orchestrée de l’Histoire du Royaume araucanien et de l’esprit de son créateur, Antoine de Tounens ».
Il déclare que « tout, dans cette parution a été détourné pour servir la gloire de la Franc-Maçonnerie qui gangrène de prétendues subsistances d’un Royaume qui n’a été conquis, et qui n’a subsisté que par la force et le dévouement propres de ceux qui s’y sont consacrés.
« Si Antoine de Tounens a jugé bon de trouver de l’aide de la part de la Franc-Maçonnerie, au 19° siècle, afin d’aider son entreprise, et même si, par la suite, plusieurs de ses successeurs ont entretenu quelques relations avec elle.
Présenter ainsi ce livre que le défunt Prince Philippe attendait avec impatience, c’est détourner le souffle du génial Inventeur du Royaume. »
« Dans l’histoire particulière de ce projet de livre dont me parlait le Prince Philippe, rien dans son annonce déjà ancienne, ne pressentait que la Franc-Maçonnerie, se servant sur le compte d’Antoine de Tounens, serait mise en avant et présentée comme le mécène de cette œuvre. Le Prince Philippe n’avait jamais autorisé, au sujet de ce livre, ensuite annoncé comme devant paraître en deux tomes et relater les recherches effectuées au Chili par l’auteur depuis huit ans, que soit soulignée, et encore moins d’une façon si obscène, une orientation qui n’a jamais existé que dans le fantasme de membres ou d’amis proches du Royaume, sans doute inopportunément tolérés. »
« Je défie quiconque de démontrer qu’Antoine de Tounens – ou son œuvre – soient le produit de la générosité maçonnique, proverbiale et si bien orchestrée, sachant que pour prendre le bateau et tout abandonner en France, ce sont les biens personnels, mais encore une partie des biens de sa famille qui ont été vendus pour réaliser cette expédition et celles qui ont suivi. Sachant enfin qu’Antoine de Tounens dût renoncer pour sa troisième expédition à toute aide de la Franc-Maçonnerie, qui l’avait totalement abandonné… »
« Faire appel ostensiblement aux archives pour ce livre, mais aussi à la participation de la Franc-Maçonnerie et en particulier du Grand-Orient que le Prince Philippe, fervent et fidèle Catholique, n’aurait jamais reçu, n’est qu’une énième tentative pour mettre la main sur la mémoire d’un Royaume si décrié par certains, jugé avec condescendance par d’autres, mais qui ne manque pas d’intérêt quand on connaît les péripéties qui ont suivi la disparition du Défunt. »
La préface de ce livre est rédigée par un membre éminent du Grand-Orient. Pour comprendre l’histoire récente de cet étrange royaume, il faut se reporter à la rubrique, aujourd’hui close, que l’on trouvera ici, et ici, et à nos articles prochains…
Décidément « ils » sont partout… C’est bien triste…
Demain à 20 h, Reynald Secher propose une conférence-projection sur son sujet de prédilection : La Terreur ; La Shoa française.
20 €, à l’Hôtel Kergorlay-Langsdorff, 9 rue de l’Amiral d’Estaing, XVI° arr. , Paris.
Charles X ; Le dernier Bourbon – Jean-Paul Clément –
Avec le concours de Daniel de Montplaisir ;
Perrin ; paru le 10 Septembre 2015 ; 565 p.; 26 €.
Toutes les reines de France – Marianne Dupont-Joris –
Editions Jean-Paul Gisserot ; Mémos Gisserot ; 64 p.; 3 €.
Ce mémo est bien fait et idéal pour la Bibliothèque facile de Royauté-News, mais un bémol : la Monarchie de Juillet fait partie du chapitre Restaurations… Voir aussi l’article suivant.
Si les impératrices en font aussi partie, c’est logique que Marie-Amélie y figure; cetes pas comme « restaurée »…
Justement, Marie-Amélie n’étant pas « restaurée », on aurait dû placer la Monarchie de Juillet à part car cela entraîne une lourde confusion…
Persifler au siècle des Lumières – Elisabeth Bourguinat –
Préface d’Arlette Farge ;
Créaphis ; paru le 24 Mars 2016 (réédition du livre de 1998); 315 p.; 15 €.
Autour du rire au XVIII° siècle. Royauté-News
Vaste sujet!
Barras – Christine Le Bozec –
Perrin ; paru le 31 03 2016 ; 400 p.; 24 €.